Charlotte Bousquet et Nabil Ouali en dédicace – 16 novembre

Nabil Ouali et Charlotte Bousquet seront présents à la librairie pour vous rencontrer et dédicacer leurs ouvrages le vendredi 16 novembre à partir de 18h30.
Le tome 3 de La voix de l’empereur de Nabil Ouali sera disponible en avant première pour la dédicace.

La voix de l’empereur de Nabil Ouali
Voici l’histoire de quatre destins réunis au cœur d’un empire mourant. L’enfant du village gelé, le paladin hanté par un sombre secret, le prêtre émérite d’un ordre qu’il méprise, et le fils de l’empereur.
Dans les rues des cités fourmillantes ou les profondes forêts, chacun accomplit un voyage sur les routes de l’empire mais aussi dans les méandres de son être : quelles sont les ficelles que tire le clergé dans les coulisses ? Qui a tenté de tuer l’empereur et d’éteindre à jamais sa voix ? Sur le sentier escarpé qui mène au pouvoir, le chemin est infiniment plus important que le sommet.

Shâhra : Les masques d’Azr’Khila de Charlotte Bousquet
Djiane, héritière d’un art mortel et secret, est donnée contre son gré à un seigneur tyrannique. Arkhane, apprentie chamane, est privée en une nuit de son identité et de ses dons. Abandonnée dans un reg aride, elle ne doit sa survie qu’à la protection d’un étrange vautour. Seule rescapée de l’attaque d’une gigantesque créature des sables, Tiyyi, une jeune esclave tente d’échapper à la fournaise de Tessûa. Recueillie par des nomades, elle découvre peu à peu ses pouvoirs.
Et dans l’ombre, un immortel en quête d’humanité, un djinn prisonnier d’un corps vieillissant, prêt à tout pour devenir un dieu…
Dans ce monde désertique, peuplé de mages et de pillards, de conteurs, de guerriers et de djinns, Charlotte Bousquet nous conte le destin passionnant et mouvementé de trois femmes marquées du sceau d’Azr’Khila, déesse de la vie et de la mort.

Soirée spéciale dictionnaire de la fantasy – 9 novembre

A l’occasion de la parution du dictionnaire de la fantasy venez rencontrer les auteurs William Blanc, Florian Besson et Yann Boudier.

De la magie, des chevaliers, des elfes, des mondes disparus, des dragons, des barbares, des nains, des fées, des orques…
Du Seigneur des Anneaux à Harry Potter, la fantasy semble avoir conquis toutes les formes artistiques et ludiques : bande dessinée, illustration, cinéma, séries avec Game of Thrones, littérature, jeux vidéo avec World of Warcraft, jeux de rôle avec Donjons & Dragons…
En plus d’une centaine d’entrées, ce dictionnaire dévoile, pour la première fois, tous les secrets de ce genre majeur de l’imaginaire, en explorant les déclinaisons voisines (fantastique, gothique, science-fiction, steampunk…), les grands questionnements, tous très actuels (impératif écologique, rapport à la violence et à l’ordre, visions du passé collectif…), et les principaux auteurs (Robert Howard, J.R.R. Tolkien, Lord Dunsany, T.H. White, Terry Pratchett ou George R.R. Martin).

Entends la nuit de Catherine Dufour

 

Myriame 25 ans commence son nouveau boulot de chargée de veille à la Zuidertoren, dans le quartier de Bercy. Elle se retrouve dans un bureau glacial et est surveillée par un logiciel espion, qui porte le doux nom de Pretty face et s’assure que les employés travaillent vraiment. C’est par l’intermédiaire de Pretty face qu’elle va rencontrer le mystérieux Sir Duncan Vane, l’un des dirigeants de la Zuidertoren. Lorsqu’il lui propose un CDI et de lui trouver un logement elle n’hésite pas trop longtemps, surtout qu’elle est très intriguée par le personnage. Duncan Vane se révèle être décédé depuis un siècle et demi et le petit jeu de séduction devient dangereux.
Avec « entends la nuit » Catherine Dufour nous entraîne dans les rue de Paris mais aussi dans ses entrailles. On visite, on passe entre les murs des grandes bâtisses parisiennes et on croise au passage des êtres malfaisants tirés d’anciens mythes. Les aristocrates anglais sont aussi toxiques que les vampires du nord-ouest américain et le roman pourrait presque ressembler à de la bitlit classique. Sauf qu’il est question de classe sociale, d’immortalité bien sûr et que le tout est traité avec une bonne dose d’humour grinçant. La fin est bien loin des clichés du genre et apporte une bouffé d’optimisme.